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SOS ADDICTIONS : entre lobbying et prises de contact à Roland Garros

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Actualité de l'association

SOS ADDICTIONS : entre lobbying et prises de contact à Roland Garros

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La Fédération Française de Tennis a cordialement invité l’association dans l’enceinte du Tournoi de Roland Garros durant la quinzaine 2014. Une aubaine pour SOS ADDICTIONS qui cherche à sensibiliser le grand public, les décideurs, les médias et les relais d’opinion comme Enora Malagré, chroniqueuse de « Touche pas à mon poste » sur D8. Une émission très regardée par une population jeune, tout à fait le cœur de cible pour qui SOS ADDICTIONS s’est lancé.
Le communiqué de l’association paru dans Le Quotidien de Roland Garros :

 » Malgré les avancées scientifiques, nous continuons de vivre les addictions comme une maladie honteuse, une faute et une fatalité.
Les 130 000 morts par an dus à l’alcool et au tabac, les abus précoces de cannabis (les plus importants d’Europe) chez les adolescents, le binge-drinking, les 11 millions de consommateurs de tranquillisants et de somnifères, les addictions alimentaires, les addictions aux jeux et aux nouvelles technologies, ne suscitent pas la réaction civique à la hauteur de ces enjeux sanitaires et sociaux.
Face à cette chronique d’un massacre annoncé, le Dr William Lowenstein a créé SOS Addictions pour alerter l’opinion publique et informer les acteurs de la société civile, les médias et les responsables politiques de la gravité de la situation. Il faut multiplier les mesures de prévention, de soin et de réduction des risques et promouvoir la recherche en addictologie.
SOS Addictions, c’est aussi un comité scientifique, présidé par les Drs Laurent Karila et Philippe Batel, qui réunit plus de quarante spécialistes en addictologie, ainsi qu’un comité de soutien, présidé par M. Marcel Campion, président du Monde festif. Il est honoré de la présence de nombreuses personnalités du monde de l’entreprise, du spectacle, du sport, de l’art et de la littérature.
Les addictions nous concernent tous. Comme nous avons su le faire face à l’épidémie de sida ou à l’insécurité routière, nous devons nous mobiliser pour faire basculer les addictions du côté de la vie. «